Le 21 juillet 2003, étaient organisées à la fois la fête des 10 années de règne du Roi Albert II et, comme de tradition, la fête nationale. A cette occasion, un feu d'artifice est tiré en fin de journée. Il est de notoriété publique que cette manifestation attire un très grand nombre de Bruxellois et de provinciaux. A cette occasion, la STIB avait à maintes reprises garanti le public d'un service efficace. Nombreux ont donc été parmi les 120.000 participants ceux qui avaient choisi les transports en commun pour se rendre entre autres au feu d'artifice. Malheureusement, à la fin du feu d'artifice et d'après les témoignages, les rames de métro de la ligne 1 se sont faites rares et l'attente longue. Cette situation est dommageable pour la réputation du transport en commun et de surcroît constitue un réel danger résultant du nombre fort élevé de personnes en situation d'attente. Ce danger était augmenté par la volonté du public de ne pas rater la dernière rame de la journée. La situation était prévisible. Dès lors plusieurs questions se posent : 1) Combien de rames ont été prévues pour circuler à minuit 15 sur la ligne 1 ? 2) Quelle était la cadence prévue entre les rames ? 3) Quelle fut la cadence réelle ? 4) Comment expliquer cette défaillance grave d'organisation ? 5) Est ce que la ligne 1 du métro fut une exception dans l'ensemble de l'organisation des transports en commun à la suite du feu d'artifice ? Question et réponse peuvent être obtenues dans le bulletin ici.(aux pages 3295-3297 du document)